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Sustainable Alternatives to Fossil-Based Molecules

Petroleum is found in most everyday products which hurts our environment. Bloom found a way to turn wood and agricultural waste into renewable materials that fully replace petroleum. Thanks to this solution, companies have a green and locally available alternative, reach eco-conscious customers, meet government guidelines, save on C02 taxes and help tackle climate change.

Thirteen million barrels of oil, extracted from the Earth’s crust every day, make it into our everyday products. At the end of life, most of this material ends up polluting our environment. This must stop, yet replacing these materials is a challenge. Petroleum offers excellent building blocks and has production processes that have been optimised over more than a century, but it is not a sustainable industry. The only viable path forward is to efficiently mine carbon molecules from renewable sources, such as atmospheric CO2 and plants.

Plants are the second largest source of renewable carbon. They can be harvested sustainably (FSC) and are used industrially on a global scale (e.g. pulp & paper, agriculture). However, the current processes are not designed to harvest materials that replace petroleum.

Bloom has developed the first industrial process able to valorise all fractions of the plants. Furthermore, these molecules are specifically designed to replace fossil-based molecules in tomorrow’s sustainable products.

“We are currently the only ones able to extract everything that can be extracted”, Bloom CEO and cofounder Remy Buser explains in a video on Bloom’s website.

The market potential is virtually unlimited. Bloom is focusing on multiple verticals, such as fragrance and flavor, plastics, cosmetics and textile.

„In the future we envision, plastics are made from wood, perfumes from nutshells and all our side-products go into bio-fuel production. With our passion and knowhow, we aim to revolutionize the chemical industry by providing new, cost-competitive alternatives to fossil based molecules“, says Buser.

By creating the opportunity of locally sourcing sustainable building blocks for a wide range of everyday products, Bloom greatly contributes to the mitigation of climate change.

The company is currently making batches of about 1 kg of bioaromatics and looking to scale up its process. To date, Bloom has raised more than $1.7 million from investors. It is seeking $4 million to build a pilot facility and, later, $60 million for a demonstration-scale facility.

Erdöl ist in den meisten Alltagsprodukten enthalten, was unserer Umwelt schadet. Bloom kann Holz und landwirtschaftliche Abfälle in erneuerbare Materialien umwandeln, die Erdöl vollständig ersetzen. Dank dieser Lösung können Unternehmen auf eine grüne und lokal verfügbare Alternative zurückgreifen, stellen umweltbewusste Kunden zufrieden, erfüllen die Richtlinien der Regierung, sparen C02-Steuern und tragen zur Bekämpfung des Klimawandels bei.

Dreizehn Millionen Barrel Öl, die täglich aus der Erdkruste gewonnen werden, landen in unseren Alltagsprodukten – dies verschmutzt unsere Umwelt und muss aufhören. Diese Materialien zu ersetzen, ist jedoch eine Herausforderung. Erdöl bietet hervorragende Bausteine und hat Produktionsprozesse, die über mehr als ein Jahrhundert optimiert wurden, aber dies ist keine nachhaltige Industrie. Der einzige gangbare Weg nach vorn ist der effiziente Abbau von Kohlenstoffmolekülen aus erneuerbaren Quellen, wie CO2 aus der Atmosphäre und Pflanzen.

Pflanzen sind die zweitgrößte Quelle für erneuerbaren Kohlenstoff. Sie können nachhaltig angebaut werden (FSC) und werden weltweit industriell genutzt (z.B. Zellstoff & Papier, Landwirtschaft). Die derzeitigen Verfahren sind jedoch nicht darauf ausgelegt, Materialien zu ernten, die Erdöl ersetzen.

Bloom entwickelte den ersten industriellen Prozess, der in der Lage ist, alle Teile der Pflanzen zu valorisieren. Darüber hinaus sind diese Moleküle spezifisch darauf ausgerichtet, Moleküle auf fossiler Basis in den nachhaltigen Produkten der Zukunft zu ersetzen.

“Wir sind derzeit die Einzigen, die in der Lage sind, alles zu extrahieren, was extrahiert werden kann, erklärt Remy Buser, CEO und Mitgründer von Bloom, in einem Video auf der Bloom-Website.

Das Marktpotenzial ist praktisch unbegrenzt. Bloom konzentriert sich auf mehrere Vertikalen, wie Duft- und Geschmacksstoffe, Kunststoffe, Kosmetika und Textilien.

“In der Zukunft stellen wir uns vor, dass Kunststoffe aus Holz hergestellt werden, Parfums aus Nussschalen und alle unsere Nebenprodukte in die Biokraftstoffproduktion gehen. Mit unserer Leidenschaft und unserem Knowhow wollen wir die chemische Industrie revolutionieren, indem wir neue, kostengünstige Alternativen zu fossil basierten Molekülen anbieten”, so Buser.

Indem Bloom die Möglichkeit schafft, nachhaltige Bausteine für eine breite Palette von Produkten des täglichen Bedarfs lokal zu beschaffen, leistet das Startup einen wichtigen Beitrag zur Eindämmung des Klimawandels.

Das Unternehmen stellt derzeit Chargen von etwa 1 Kilogramm Bioaromaten her und ist daran, seinen Prozess zu skalieren. Bis heute hat Bloom mehr als 1,7 Millionen Dollar von Investoren erhalten. Das Unternehmen strebt 4 Millionen Dollar für den Bau einer Pilotanlage und später 60 Millionen Dollar für eine Demonstrationsanlage an.

Le pétrole est présent dans la plupart des produits utilisés au quotidien, ce qui nuit à l’environnement. Bloom a trouvé un moyen de transformer le bois et les déchets agricoles en matériaux renouvelables remplaçant complètement le pétrole. Grâce à cette solution, les entreprises disposent d’une alternative verte et locale, satisfont aux exigences de clients soucieux de l’environnement et les directives gouvernementales, paient moins de taxes sur le CO2 et contribuent à la lutte contre le changement climatique.

Les 13 millions de barils extraits de la croûte terrestre chaque jour attestent de l’omniprésence du pétrole dans nos produits quotidiens. À la fin de leur cycle de vie, la plus grande partie de ces produits finissent par polluer notre environnement. Il faut que cela cesse, même si leur remplacement représente un véritable challenge. Bien que le pétrole fournisse d’excellents éléments de construction et que ses processus de production aient été constamment améliorés depuis plus d’un siècle, cette industrie n’est pas durable. La seule voie alternative consiste à extraire les molécules de carbone de sources renouvelables comme le CO2 atmosphérique et les plantes.

Les plantes sont la deuxième source de carbone renouvelable. Utilisées par l’industrie dans le monde entier (pulpe, papier, agriculture par ex.), celles-ci peuvent être récoltées de manière durable (FSC). Cependant, les processus actuels ne sont pas conçus pour récolter des matériaux remplaçant le pétrole.

Bloom a développé le premier processus industriel capable de valoriser toutes les parties des plantes. En outre, ces molécules sont spécialement conçues pour remplacer les molécules fossiles dans les produits durables de demain.

Dans une vidéo présente sur le site de Bloom, son PDG et co-fondateur Remy Buser explique: «Nous sommes actuellement les seuls à être capables d’extraire une forme soluble native de cette lignine pouvant être valorisée ou transformée en molécules plateformes proches du rendement théorique. Ceci signifie que nous extrayons tout ce qui peut être extrait.»

Le potentiel de marché est pratiquement illimité. Bloom se concentre sur plusieurs marchés verticaux tels que les arômes et les parfums, les plastiques, les cosmétiques et le textile.

«Dans le futur que nous envisageons, les plastiques seront issus du bois, les parfums des coquilles et tous nos sous-produits seront utilisés pour la production de biocarburants. Animés par notre passion et grâce à notre savoir-faire, nous voulons révolutionner l’industrie chimique en proposant de nouvelles alternatives économiquement compétitives aux molécules fossiles» conclut Remy Buser.

En offrant la possibilité de se procurer localement des éléments de construction durables pour de nombreux produits du quotidien, Bloom contribue grandement à la lutte contre le changement climatique.

L’entreprise produit actuellement des lots d’un kilo de substances aromatiques bio et envisage d’intensifier le processus. À ce jour, Bloom a levé plus de $ 1,7 million auprès d’investisseurs. Elle recherche $  4 millions pour construire une installation pilote et, ensuite, $ 60 millions pour une installation de démonstration.